Un hangar désaffecté, poussiéreux des inconnus dans la place

Rappel du premier message :

Ça sent la poussière. La poussière, et un arrière gout de pourriture; celle de la nature qui reprend ses droits dans un endroit ou elle a été bannie pendant des années. Lorsque les flaques deviennent des petits marécages putrides, lorsque les ronces et les lichens se décomposent pour mieux laisser place aux champignons et au lierre rampant.

Les insectes vous réveillent. Entre les bourdonnements et le grattement de milliers de bestioles sur les bouts de carton décomposés, les multiples piqûres sur votre corps, vous ouvrez les yeux. Vous ne distinguez pas grand chose, seule la verrière cassée permet au pale soleil de pénétrer jusqu'ici.

Plus loin, les murs de bétons couverts de graffitis s'ouvrent sur de grandes arches aux verres brisés et aux portes disparues. Tout cela est vieux, ressemble à une gare ou un entrepôt désaffecté. Et vous n’êtes pas seul: deux autres personnes sont avec vous

Un asiatique, sapé en Gucci, chaîne en or qui brille et Rayban. Une Blonde, maigre, un peu plus d'1m70 mais elle n'a pas terminé sa croissance. Une petite femme, coupe de cheveux plutôt stricte. Environ 70 ans.

Mouais, pourquoi pas, qu'est ce que j'ai à perdre de toute façon.

Je me tiens droite et tente de ne pas paraître trop crispée malgré le froid.

-"La trame a changé. Il reste une chance ! Il faudrait essayer encore une fois. Si tu peux refaire le même truc, on va gérer ce coup-ci"

Je croise les bras pour ne pas trembler et me force à sourire pour montrer plus de confiance que ce que j'ai vraiment.

Toujours aucune idée de ce que je raconte, mais je verrai bien ce que ça donne.

Je lis le papier au delà de "Vous deviez..." et d'autres que je ramasse. (action 1)

Sans levez les yeux vers notre interlocuteur. (En anglais).
- Merinda, veuillez aider monsieur à se déplacer.
- Contre qui devions nous nous opposer ? et quels sont "nos rôles" selon vos propre termes ?

J'essaie d'identifier dans quel anglais il s'adresse à nous d'après l'accents, certains termes, anglais britannique ou américain. Si c'est du cookney ou de la Received Pronunciation, du plain english, de l'anglais archaïque (à cause de la vieille arme).

Je ne sais pas si j'ai mon sac a main avec mes affaires. Papiers d'identités, chéquier, téléphone, carte gold, etc, compte tenu de l'attentat, de ce qui semble être une sorte de "reset" concernant certains événements ? Dans l'affirmative je mets en oeuvre un certains nombre d'actions.

Je sors mon téléphone. Je regarde la date et l'heure. Je vérifie la géolocalisation gps.
Je regarde s'il y a des informations récentes me concernant en particulier un attentat Quai de Jemmapes le vendredi 28 novembre au matin. En fonction des informations recueillies je consulte mon carnet d'adresse papier, je transcris au dos d'un des papiers des coordonnées de contacts et je m’apprête à envoyer des emails. S'il y a un attentat me concernant je regarde s'il y a eut d'autres attentats dans la même période dans le monde et où ?

La gamine semblait comprendre quelque chose alors que le Chinois s'enfonçait dans les méandres de l'incompréhension. Il était sensé être un enfant de qui on attendait qu'il fasse quelque chose qui avait du lui échapper.
Il devait bien y avoir une partie de l'enfer qui lui était réservé pour tout ce qu'il avait pu faire par le passé et cela semblait y ressembler.

" Je ne comprends rien, mais s'il s'agit d'assumer ce que j'ai fait, je suis d'accord..."

-"La trame a changé. Il reste une chance ! Il faudrait essayer encore une fois. Si tu peux refaire le même truc, on va gérer ce coup-ci"

Le gars regarde la blonde. "Ah?"

- Merinda, veuillez aider monsieur à se déplacer.
- Contre qui devions nous nous opposer ? et quels sont "nos rôles" selon vos propre termes ?

Puis il regarde la vieille dame qui lit son bout de papier.

" Je ne comprends rien, mais s'il s'agit d'assumer ce que j'ai fait, je suis d'accord..."

"Il s'agit de pas laisser le monde finir en quenelle. Ok, vous êtes pas aider, mais on peut rien faire contre le Destin, n'est-ce pas?
J'ai l'impression de passer ma vie à vous le raconter. Toutes ces conneries temporelles ça me lourde grave"

Pendant qu'il parle les papiers continuent de virevolter en continue.

Je lis le papier au delà de "Vous deviez..." et d'autres que je ramasse.

Vous devriez vous concentrer sur ce qu'il dit ainsi que vos compagnons, ça éviterait que vous reveniez ici à chaque fois; on peut pas dire que la patience soit sa vertu la plus prononcée, et il a du mal à voir plus loin que le bout de son nez, en plus je le sens à bout de nerf, ça doit venir du climat


Il vous regarde, et attend en voyant la petite dame qui cherche dans son sac et commence à sortir stylo et portable. Au bout d'un moment, voyant qu'elle met du temps, il soulève sa masse et avant que vous puissiez réagir (en tout cas de manière efficace, à part vous mettre en dessous je vois pas ce que vous pourriez faire), il l'abat sur le sol. Qui tremble, vous entendez un bruit de tonnerre comme si le coup avait réveillé un tremblement de terre qui n'attendait que ça: à votre surprise, le sol s’entrouvre et vous tombez vers l'obscurité profonde et chaude, le monde s’écroule et disparaît; vous.....

https://www.youtube.com/watch?v=FkgMbiVi_3E



Ça sent la poussière. La poussière, et un arrière gout de pourriture; celle de la nature qui reprend ses droits dans un endroit ou elle a été bannie pendant des années. Lorsque les flaques deviennent des petits marécages putrides, lorsque les ronces et les lichens se décomposent pour mieux laisser place aux champignons et au lierre rampant.

Les insectes vous réveillent. Entre les bourdonnements et le grattement de milliers de bestioles sur les bouts de carton décomposés, les multiples piqûres sur votre corps, vous ouvrez les yeux. Vous ne distinguez pas grand chose, seule la verrière cassée permet au pale soleil de pénétrer jusqu'ici.

Plus loin, les murs de bétons couverts de graffitis s'ouvrent sur de grandes arches aux verres brisés et aux portes disparues. Tout cela est vieux, ressemble à une gare ou un entrepôt désaffecté. Et vous n’êtes pas seul: il est avec vous. L'africain et le chinois. Visiblement soignés, tout comme vous. Vos vêtements ne portent ni traces de sang ni marque de coups, c'est déjà ça

D'une claque, j'écrase un insecte. Je me croirais revenu dans les ruelles miteuses. Mais ce n'est rien comparé à la sensation des balles qui pénètrent la chair en rafale.

"Putain, tu parles pas anglais, le Chinois ? Je te l'ai pourtant bien dit, que t'étais pas ma cible. Arh, ce foutu cliché ! Si j'avais su que je me ferais avoir par le karaté d'un asiat, j'y serais allé direct à l'arme blanche."

Je fouille mes vêtements, étonné d'avoir été soigné, mais je m'inquiète surtout pour mon équipement : mes armes à feu et ma machette.

Le sang a désormais éclaboussé la chemise blanche du Chinois, qui commence paradoxalement à perdre des couleurs...

- Espèce de triple con ! articule Kenny péniblement, tentant d'ôter la chemise de lin...

La plaie était moche à voir et il devenait de plus en plus difficile de bouger le bras.

- T'appelles ça dire quelque chose balancer des grenades et foncer sur des gens avec un coupe-coupe...Pauvre taré. Je tenais ce mec et t'as tout fait foirer. Merde ! Il va falloir m'ôter cette putain de balle...

"Mhh, on n'a plus la langue dans sa poche tout d'un coup. Pas peur de se faire éventrer comme son petit congénère ? Tant mieux. Je sais pas ce que tu lui voulais, et ce sont pas mes affaires, moi j'ai rempli mon contrat."

Je commence à regarder autour de moi, toujours sans essayer de me lever. Les blessures peuvent bien attendre encore un peu. C'est pas ici que je trouverais un médic. Où est-ce que j'ai atterri, bordel ?...

"Te mets pas à chialer pour une pauvre balle, j'en ai eu trois fois plus. Et si j'étais pas venu, tu te serais peut-être pris les quatre pour toi tout seul. Alors estime-toi heureux que j'ai pris le temps de te parler plutôt que de te balancer directement une grenade à la gueule. Tu serais beaucoup trop éparpillé pour te plaindre.
Ah ça, t'auras tout le temps de te soucier de ton copain plus tard."

- Je ne me serais rien pris du tout si tu n'étais pas arrivés, abruti de salafiste. Tu te crois où ? Au Soudan ? Tu débarques à San Francisco avec ton attirail de cannibale, mais tu penses qu'on est dans ta brousse ? Dans un putain de film ? Le mec s'est tiré par ta faute et tout ce merdier est à recommencer, encore et toujours ! Je sais même pas si on aura une seconde chance...Si ton contrat c'était de tout faire merder, c'est clairement un succès...

La douleur irritait encore plus le Chinois. Il fallait qu'il trouve quelque chose au plus vite pour arrêter le saignement et le retour à la case Russie n'avait rien d'enchanteur. Se redressant en utilisant le mur, il tenta péniblement de s'immobiliser l'épaule en déchirant sa chemise.
Le tatouage représentant Guan Di, le protecteur du Sun Yee On n'avait sans doute pas été touché, la balle ayant traversé la clavicule sans passer par le dos.
Le Divin Général devait bien se foutre de lui, à l'heure qu'il était...La légende racontait que blessé par une flèche empoisonnée, celui-ci s'était fait ouvrir le bras et gratter l'os par un médecin, tandis qu'il continuait à boire du vin en jouant aux échecs, sans laisser apparaître le moindre signe de douleur...
On était bien loin du compte : la balle brûlait Kenny comme du tabasco frais, mais pire encore, ils étaient tous les deux coincés au milieu de nulle part.
Péniblement, le Hong kongais refit le chemin qui l'avait mené au fou manchot.

Visiblement soignés...... Vos vêtements ne portent ni traces de sang ni marque de coups, c'est déjà ça. Bon on va remédier à ça

Vous vous rendez compte que vos blessures se soignent d'elle-même à une vitesse prodigieuses, à tel point qu'au bout de quelques minutes vous n'avez plus rien.

Les arches donnent sur d'autres grandes salles; l'endroit ferait presque penser à une cathédrale de béton. Tout est répugnant et désagrégé. Il n'y a que peu de possibilité; s'orienter vers le centre du bâtiment, sombre et glacial, se diriger vers une sortie, ou rester sur place.
A part quelques bouts de métal rouillé ou de béton arraché, rien...Même la vermine semble ne pas aller aussi loin.

Kenny s'enfonce vers les grandes arches obscures.

L’écho vous rapporte le bruit de liquide qui goutte, quelque part, de la voûte. Et peut-être un bruit de respiration? Un homme apparaît dans l'ombre, à moitié caché dans l'obscurité. Il tient un gros truc qui inspire pas confiance dans sa main. Un truc lourd qui touche le sol. D'ailleurs, on peut pas dire que le peu que l'on voit de son sourire soit accueillant; ça ressemble plutôt à une imitation moisie de Clint Eastwood dans ses vieux films. Et en plus, il grogne

La douleur s'éclipsa presque aussi vite qu'elle était venue, Lam nageait en plein délire sous acide, mais l'accumulation brusque lui avait de toute manière fait perdre le sens de la réalité. Il acceptait désormais ces états de faits avec la résignation d'un schizophrène convaincu que son monde finirait bien, à un moment où un autre, à s'échouer contre le réel..

- Je suppose qu'on a échoué, c'est ça ? souffla Kenny, déjà familier avec cette scène.

Dès que je peux à nouveau bouger, je me lève à la poursuite du Chinois et l'attrape par l'épaule tandis qu'il soupire. Je maintiens une poigne ferme, surprenante de la part de mon grands corps dégingandé, sans imposer de mouvement brusque.

"Ecoute, tu vas apprendre un peu le respect, et pas plus tard que maintenant. Ton pote, je l'ai ouvert en deux, s'il s'est tiré, c'est dans le Jahannam, et je tiens pas à devoir te faire la même chose."
Je mets toute ma force de persuasion dans ces quelques mots. J'ai l'habitude des éléments rebelles qu'il faut maintenir à leur place pour éviter qu'un groupe se dissolve, mais là, la situation dépasse tout ce que j'ai connu.

"Tu vas arrêter de déblatérer tes insultes et m'appeler Inam Konaté, compris, foutu chinetoque ? Maintenant, c'est quoi ton nom? Et c'est quoi cet endroit, t'as l'air de... qu'est-ce que ?..."

Je regarde avec étonnement l'homme voûté qui sort de l'ombre. Encore un indésirable ?

-" Vous avez échoués" dit l'homme en descendant quelques marches dans votre direction avec un sourire fatigué. Son corps est couvert de cicatrices et il semble ne pas s’être lavé depuis une décennie.

-" Vous deviez vous opposer à lui. Pas à lui obéir comme un petit chien. Qu'es-ce qu'il s'est passé? L'un d'entre vous a attaqué l'autre c'est ça? Vous vous êtes entre tués? Heureusement que certains d'entre nous ont le pouvoir de vous éviter la mort."

La masse à ailettes qu'il tient dans la main lui sert à se maintenir debout, comme si il était tellement habitué à elle qu'elle constituait une partie de lui-même.

-"Vous ne savez pas encore qui vous êtes, n'est ce pas? Ah ah, ne vous inquiétez pas, j'ai été comme vous autrefois."

Je pousse un soupir d'agacement. Ne peut-on pas faire son boulot tranquille ?

"Ca fait beaucoup de questions pour un homme qui ne s'est même pas présenté. Qui ça "lui" ? Celui qui se fait appeler "le boss" et qui m'a embauché pour m'occuper d'un Chinois dans ce resto à nouilles ? Disons que celui qui m'accompagne s'est "accidentellement" trouvé au mauvais endroit, et qu'il a cru bon de riposter."

Le Chinois secoua la tête

- Non. Du moins, je croyais le savoir jusqu'à ce qu'il se passe tout ça...Je suppose que maintenant, c'est foutu pas vrai ? L'explosion, le type, les flashback, c'était quoi ?

-" celui qui t'accompagne monsieur éthiopien est un Scion, tout comme toi, alors soyez correct vis à vis l un de l autre. C est qui ce boss? Il t a demandé de le tuer?"

Il se gratte la tête, l air perplexe. Visiblement réfléchir n est pas une spécialité chez lui.
Ça dure. Jusqu'à recevoir une feuille volante dans la tronche.
La il la prend, lit ce qu il y a dessus

-" vous avez un destin à accomplir. Et vous devez le découvrir par vous même. Ainsi l à annoncé la prophétie. Je sais que tout ça vous dépassé, mais un jour vous comprendrez.
Toi le chinois tu m as pas l air malin, mais bon. Je t ai déjà expliqué tout à l heure, visiblement tout ça te depasse. J ai toujours dit que les peuples inférieur ne devraient être dans la guerre. M enfin je..."

Il est interrompu par des feuilles de papier portées par le vent qui virevoltent partout. Il en attrape une, la lis, et vous regarde. Et il soulève sa masse tel un flambeau.

"Qu'est-ce que c'est qu'un Scion ? Quel rapport avec le respect ? Je ne respecte que la force et ce boss m'en a montré plus que nécessaire. J'étais comme toi, couvert de crasse, dans les rues... la masse en moi. J'attendais un signe, quelque chose, et des hommes du boss sont arrivés. Il dirige un super tanker au large de la Somalie et il sait faire des trucs vraiment bluffants... Il m'a demandé de tuer un chinois dans un resto, ce que j'ai fait. Il m'a rien dit à propos de notre ami."

Gêné par les feuilles, j'en attrape une ou deux que je fourre dans ma poche. J'aurais tout le temps de lire ça plus tard. En attendant, je dois en tirer plus de ce drôle de type.

"Je t'ai dit ce que je savais. Qui es-tu ? Je suis Konaté, guerrier somalien, et je ne sais rien des Scion." J'insiste bien sur ce dernier mot, je tiens à avoir la réponse à ces deux questions, et j'utilise ma force de persuasion tant que possible, lui montrant que son apparence ne me rebute pas (j'étais comme ça hier)

-"je suis Manukos de Corinthiens, homme sombre, et je suis celui qui a survécu.
Prend garde à tes paroles en ma présence, ma patience a ses limites. La force et la puissance sont de mon domaine, car Père m'a accordé sa grâce divine.
Celui que tu nommés Boss, qui est il? Le sais tu au moins? Tu n es qu un barbare ignorant, alors laisse moi te dire une chose: tu n es rien et ne sera rien tant que tu ne sauras pas tout."

Il tient toujours sa masse en l air pendant qu il parle

- Vos objectifs n'avaient rien de clairs. J'aime savoir contre qui je me bats et les raisons pour lesquelles je le fais, répliqua le Chinois exaspéré par les feuillets qui voletait dans tous les sens.

Agacé, il en arracha un au passage et porta un oeil distrait sur ce qu'il pensait être un vieux morceaux de journal.

- Maintenant si vous avez quelque chose à nous dire sur les raisons des phénomènes qui se produisent ici, je suis prêt à vous écouter. Mais laissez de côté le vocabulaire mystique, venons en au fait !

"Manukos, Hein ? Désolé si je t'ai offensé, ce n'était pas mon intention."
Grâce divine ? Domaine de la Force et de la Puissance ? Je sais pas trop si la folie de tous ces gars m'intrigue, ou si les bons vieux jours me manquent...

"A-t-on besoin d'une raison pour se battre ? La guerre est une récompense en soi. Qu'importe pour qui on se bat ? Il sera toujours bien assez tôt pour poignarder par derrière si on est mécontent.
Un bon soldat n'a besoin que deux de choses, de savoir qui il va tuer et de savoir comment il va le tuer. Mais pour le coup, j'dois bien avouer que le boss m'a beaucoup déçu, ses instructions ne valaient rien. J'ai cru que c'était un chef valable parce qu'il a de la puissance, mais il manque vraiment de sagesse.
En tout cas, je suis prêt à t'écouter moi aussi."

Manukos semble exaspéré, surtout que sa masse doit peser lourd

-"j'ai rien a vous expliquer; vous devez découvrir par vous- même, c'est ainsi que cela doit être. Z'etes pas content? Ben c'est pareil."

Nico tu peux lire sur les feuilles de papier:" Laissez tomber, Manu ne vit pas les choses dans le même ordre que vous; oui, c'est mystique, et oui, votre vie va changer. Mais nous sommes là pour vous aider, et le fait de vous amener ici à la place de mourir est déjà un bon coups de pouce. Manu va devoir vous renvoyer la d'ou vous venez; vous avez quelque chose à y faire, et cette comédie durera tant que ce ne sera pas fait"

A ce moment l'homme à la masse relève le bras ; il va visiblement frapper le sol avec sa masse

l 'homme a un leger rictus, et sa masse vient frapper le sol. Qui tremble, vous entendez un bruit de tonnerre comme si le coup avait réveillé un tremblement de terre qui n'attendait que ça: à votre surprise, le sol s’entrouvre et vous tombez vers l'obscurité profonde et chaude, le monde s’écroule et disparaît; vous.....



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